La compagnie est composée de :
Nos compagnons entrent dans la taverne nommée "L'épée et le Fléau", dans le quartier de Neumarkt à Middenheim. Ils espèrent y trouver les preuves de l’existence d'un culte chaotique en sous-sol.
Tandis que les compagnons s'approchent du bar, Mili s'éloigne et s'infiltre discrètement par l'escalier situé dans le fond de l'établissement. Mais elle se "trompe de sens" et monte à l'étage au lieu de descendre vers la cave.
Tandis que Mili commence méthodiquement à rafler toutes les richesses des pièces supérieures, Dobert décide, aidé par quelques verres de mauvaise bière, d'avouer sa flamme à Emea. Soyons clair, il n'a aucune chance. Mais bon, ce n'est pas ça qui va le décourager.
Voulant également donner du temps à Mili en détournant l'attention du patron et de la clientèle de la taverne, essentiellement composée de gardes de Middenheim et de mercenaires, Dobert décide de déclamer de la poésie. Bien sûr, habitué des campements et des corps de gardes, il n'a aucune idée de la façon de s'y prendre. Il n'a ni la culture d'Hector ni la vivacité d'esprit de Mili. Bon, c'est parti...
Il attaque, discrètement au comptoir, le verre de bière à a main, les yeux plongés dans le décolleté d'Eméa.
Emea, t'es belle comme un plat.
Tes formes rebondies sont toutes mes amies.
Laisse-moi t'emmener au fond du bar,
Tu pourras m'y montrer tes nibards.
Emea rougit jusqu'à la racine des cheveux et accepte volontiers un verre de gnôle offert par Hanz, histoire d'oublier les dernières secondes de son existence. Autour de Dobert et d'Emea, quelques clients hilares et avinés se sont rassemblés : ils flairent un bon amusement un perspective...
Après un autre verre de bière, Dobert lance, pour se donner du courage, un regard à la foule naissante, puis attaque la deuxième strophe :
A la taverne de l’Épée et du Fléau,
Jamais il ne coule d'eau,
La bière et la gnôle y sont légion,
Allez, Emea, laisse moi bourrer ton fi.... (Dobert hésite sur la dernière rime)
La foule rie aux éclats, Emea ne sait plus où se cacher. Presque la moitié de la taverne est maintenant captivée par ce poète des comptoirs. Et tous commencent à déshabiller Emea du regard.
Dobert, inspiré par le comportement des clients de la taverne, et par un autre verre de bière, lance son troisième couplet :
Emea, où qu'tu vas, tout l'monde te voit.
Ton déhanchement lubrique, nous file la trique.
La nuit, je pense à toi,
Le matin, je change mes draps.
Cette fois toute la taverne est assemblée, pliée en deux par les éclats de rire, autour des "deux tourtereaux". Emea prie de toute sa foi pour que sa déesse Shallya la transporte quelque part ou fasse taire Dobert en le foudroyant sur place. Les prières ont peut être fonctionné : Dobert se rappelle soudain que Mili est partie depuis très - trop- longtemps. Ce n'est pas normal, il faut la rejoindre.
Fini le temps de la romance, il faut reprendre le taf. Dobert balaye de son regard la trentaine d'hommes d'armes captivés par Emea et attendant les prochaines paroles de ce poète qui leur ressemble temps. Il pousse un long soupir, baisse les épaules d'un air résigné face à ce qui l'attend. Puis, reprenant courage, avec un sourire carnassier à l'attention de l'auditoire, il lance :
Et vous autres, les gars tout autour,
Ca fait 3 heures que j'vous vante ses atours.
En fait, je trouve que vous êtes tous des cons,
Et, à défaut d'Emea, j'vais vous la mettre bien profond..
Résultat :
Tandis que Dobert entame un vol plané,
Sous les coups de la foule assemblée
Ses compagnons, filent discrètement vers l'escalier
Rejoindre Mili pour aller l'aider.
Dobert se relève l’œil poché,
Et, paye une tournée,
Puis, titubant, sans un regret,
Part rejoindre sa dulcinée!
Et nos compagnons poursuivent leurs aventures!!! A la prochaine !
- Emea, jeune femme très douce et super sexy, vestale de Shallya
- Mili, halfeling aux mains agiles
- Hector, apprenti sorcier
- Hanz, mercenaire bougon et laconique
- Dobert, mercenaire également, pas très futé mais très motivé. Sa mère disait de lui qu'il avait un coeur "gros comme ça". Son père ajoutait alors "Ben pour compenser, il a une cervelle p'tite comme ça"...
Nos compagnons entrent dans la taverne nommée "L'épée et le Fléau", dans le quartier de Neumarkt à Middenheim. Ils espèrent y trouver les preuves de l’existence d'un culte chaotique en sous-sol.
Tandis que les compagnons s'approchent du bar, Mili s'éloigne et s'infiltre discrètement par l'escalier situé dans le fond de l'établissement. Mais elle se "trompe de sens" et monte à l'étage au lieu de descendre vers la cave.
Tandis que Mili commence méthodiquement à rafler toutes les richesses des pièces supérieures, Dobert décide, aidé par quelques verres de mauvaise bière, d'avouer sa flamme à Emea. Soyons clair, il n'a aucune chance. Mais bon, ce n'est pas ça qui va le décourager.
Voulant également donner du temps à Mili en détournant l'attention du patron et de la clientèle de la taverne, essentiellement composée de gardes de Middenheim et de mercenaires, Dobert décide de déclamer de la poésie. Bien sûr, habitué des campements et des corps de gardes, il n'a aucune idée de la façon de s'y prendre. Il n'a ni la culture d'Hector ni la vivacité d'esprit de Mili. Bon, c'est parti...
Il attaque, discrètement au comptoir, le verre de bière à a main, les yeux plongés dans le décolleté d'Eméa.
Emea, t'es belle comme un plat.
Tes formes rebondies sont toutes mes amies.
Laisse-moi t'emmener au fond du bar,
Tu pourras m'y montrer tes nibards.
Emea rougit jusqu'à la racine des cheveux et accepte volontiers un verre de gnôle offert par Hanz, histoire d'oublier les dernières secondes de son existence. Autour de Dobert et d'Emea, quelques clients hilares et avinés se sont rassemblés : ils flairent un bon amusement un perspective...
Après un autre verre de bière, Dobert lance, pour se donner du courage, un regard à la foule naissante, puis attaque la deuxième strophe :
A la taverne de l’Épée et du Fléau,
Jamais il ne coule d'eau,
La bière et la gnôle y sont légion,
Allez, Emea, laisse moi bourrer ton fi.... (Dobert hésite sur la dernière rime)
La foule rie aux éclats, Emea ne sait plus où se cacher. Presque la moitié de la taverne est maintenant captivée par ce poète des comptoirs. Et tous commencent à déshabiller Emea du regard.
Dobert, inspiré par le comportement des clients de la taverne, et par un autre verre de bière, lance son troisième couplet :
Emea, où qu'tu vas, tout l'monde te voit.
Ton déhanchement lubrique, nous file la trique.
La nuit, je pense à toi,
Le matin, je change mes draps.
Cette fois toute la taverne est assemblée, pliée en deux par les éclats de rire, autour des "deux tourtereaux". Emea prie de toute sa foi pour que sa déesse Shallya la transporte quelque part ou fasse taire Dobert en le foudroyant sur place. Les prières ont peut être fonctionné : Dobert se rappelle soudain que Mili est partie depuis très - trop- longtemps. Ce n'est pas normal, il faut la rejoindre.
Fini le temps de la romance, il faut reprendre le taf. Dobert balaye de son regard la trentaine d'hommes d'armes captivés par Emea et attendant les prochaines paroles de ce poète qui leur ressemble temps. Il pousse un long soupir, baisse les épaules d'un air résigné face à ce qui l'attend. Puis, reprenant courage, avec un sourire carnassier à l'attention de l'auditoire, il lance :
Et vous autres, les gars tout autour,
Ca fait 3 heures que j'vous vante ses atours.
En fait, je trouve que vous êtes tous des cons,
Et, à défaut d'Emea, j'vais vous la mettre bien profond..
Résultat :
Tandis que Dobert entame un vol plané,
Sous les coups de la foule assemblée
Ses compagnons, filent discrètement vers l'escalier
Rejoindre Mili pour aller l'aider.
Dobert se relève l’œil poché,
Et, paye une tournée,
Puis, titubant, sans un regret,
Part rejoindre sa dulcinée!
Et nos compagnons poursuivent leurs aventures!!! A la prochaine !
Dernière édition par CaskFlask le Lun 12 Sep - 1:20, édité 3 fois