par Invité Ven 26 Mar - 12:07Le pigeon s’est posé sur le rebord de la fenêtre, son regard se pose à l’intérieur de la pièce. Puis la sonnerie du réveil s’active, il est 7h00. Une main sort de sous le confort de la couette, tâtonne sur la table de chevet. D’un coup sec, elle fait taire cette sonnerie. Il faut 10 bonnes minutes pour que l’homme se lève, le volatil le suit du regard, puis s’envole perdant une plume. L’homme n’est pas complètement réveillé, la main qui a éteint la sonnerie vient se perdre dans sa chevelure avant d’enfermer un bâillement. Comme tout les matins, Gabriel suit le rituel qui va le conduire au WC, puis la petite cuisine américaine où il se lavera les mains. Ceci fait il prendra le reste de pain et s’en fera une tartine qu’il accompagnera d’un verre de jus d’orange. Une fois ce petit déjeuner avalé, Gabriel s’en va dans la salle de bain afin de s’occuper de son hygiène. Il est 7h25 lorsque Gabriel est enfin prêt à sortir de chez lui affin de rejoindre le flot d’humains qui vaquent à leurs occupations.
Il est 8h05, lorsque Gabriel pousse la porte du commissariat dans lequel il travaille. Comme tous les matins, Jérôme, l’agent qui se trouve à l’accueil le chambre au sujet de son futur permis de conduire le comparant à un héros d’un films. Gabriel sourit faisant celui qui à compris, un jour il faudra qu’il se loue ce fameux film, Taxi. Dès que l’accueil se trouve dans son dos, Gabriel oublie Jérôme, il doit passer devant le poulailler afin de rejoindre son bureau. Non sans surprise, il constate que la famille de sans papier y est encore. Ils ont été arrêté la veille, mais personne n’a le temps de les conduire vers un centre d’accueil. L’ange soupir au fond de lui, les hommes semblent avoir oublié qu’ils sont tous frères, du moins au regard de Dieu. Il serait si simple de mettre les malheurs des Hommes sur le dos de Lucifer, l’ennemi, mais les hommes ne sont victimes que de eux pour la majorité.
Lorsqu’il arrive au niveau des bureaux, il constate qu’une vieille femme attend. Gabriel aurait du mal à lui donner un âge, tellement la peau de ce dernière était fripée. L’inspecteur de police, se dirige vers elle afin de prendre connaissance de sa présence ici. Un sourire l’accueil lorsqu’il se présente à l’humaine, cette dernière est venue porter plainte. Le jeune homme lui demande de le suivre jusqu’à son bureau. Il n’est pas surpris de constater l’absence de son collègue ce dernier doit être au PMU le plus proche à boire son café et philosopher sur le résultat de l’équipe de Rugby local. Gabriel aide la veille femme à s’assoir et après s’être assurée que cette dernière ne voulait pas prendre un thé ou un café s’installe derrière son bureau. La vielle femme a été victime d’un vol, alors qu’elle était sortie acheté son pain, par chance elle n’a pas été blessé. Gabriel prend la plainte de la vieille femme, puis lui fait signer. Il ne lui promet rien, d’ailleurs elle ne s’y attendais pas. Par quelques mots, elle lui fait comprendre qu’elle ne se fait pas d’illusion. Gabriel la raccompagne jusqu’à la sortie du commissariat, il est alors 8h35. Quelques gouttes de pluies commencent à venir humidifier le trottoir, peut être pour essayer d’en laver la misère. Certains prétendent que lorsqu’il pleut, c’est Dieu qui pleure sur les hommes. Gabriel ne le pense pas, mais sait on jamais.
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Il est 8h05, lorsque Gabriel pousse la porte du commissariat dans lequel il travaille. Comme tous les matins, Jérôme, l’agent qui se trouve à l’accueil le chambre au sujet de son futur permis de conduire le comparant à un héros d’un films. Gabriel sourit faisant celui qui à compris, un jour il faudra qu’il se loue ce fameux film, Taxi. Dès que l’accueil se trouve dans son dos, Gabriel oublie Jérôme, il doit passer devant le poulailler afin de rejoindre son bureau. Non sans surprise, il constate que la famille de sans papier y est encore. Ils ont été arrêté la veille, mais personne n’a le temps de les conduire vers un centre d’accueil. L’ange soupir au fond de lui, les hommes semblent avoir oublié qu’ils sont tous frères, du moins au regard de Dieu. Il serait si simple de mettre les malheurs des Hommes sur le dos de Lucifer, l’ennemi, mais les hommes ne sont victimes que de eux pour la majorité.
Lorsqu’il arrive au niveau des bureaux, il constate qu’une vieille femme attend. Gabriel aurait du mal à lui donner un âge, tellement la peau de ce dernière était fripée. L’inspecteur de police, se dirige vers elle afin de prendre connaissance de sa présence ici. Un sourire l’accueil lorsqu’il se présente à l’humaine, cette dernière est venue porter plainte. Le jeune homme lui demande de le suivre jusqu’à son bureau. Il n’est pas surpris de constater l’absence de son collègue ce dernier doit être au PMU le plus proche à boire son café et philosopher sur le résultat de l’équipe de Rugby local. Gabriel aide la veille femme à s’assoir et après s’être assurée que cette dernière ne voulait pas prendre un thé ou un café s’installe derrière son bureau. La vielle femme a été victime d’un vol, alors qu’elle était sortie acheté son pain, par chance elle n’a pas été blessé. Gabriel prend la plainte de la vieille femme, puis lui fait signer. Il ne lui promet rien, d’ailleurs elle ne s’y attendais pas. Par quelques mots, elle lui fait comprendre qu’elle ne se fait pas d’illusion. Gabriel la raccompagne jusqu’à la sortie du commissariat, il est alors 8h35. Quelques gouttes de pluies commencent à venir humidifier le trottoir, peut être pour essayer d’en laver la misère. Certains prétendent que lorsqu’il pleut, c’est Dieu qui pleure sur les hommes. Gabriel ne le pense pas, mais sait on jamais.
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